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L’échographie pulmonaire, la solution pour évaluer l’ampleur des pathologies pulmonaires

Les pathologies pulmonaires impactent fortement les élevages : diminution du GMQ, production laitière plus faible en 1ère lactation, risque plus élevé de réforme avant le 1er vêlage et risque de mortalité ou de réforme plus élevée.

Des lésions potentiellement irréversibles, sont visibles sur le poumon dans les 2 heures après le début d’une infection respiratoire.
Seule l’échographie permet d’estimer l’impact réel d’une pathologie pulmonaire !

L’avenir productif de l’animal dépend de l’ampleur des lésions. Si les lésions sont supérieures à 3cm, on peut s’attendre une baisse de 525 kg de lait en première lactation.

Poumon sain, sans lésions
Poumon sain, sans lésions
Poumon fortement touché avec de nombreuses lésions irréversibles
Poumon fortement touché avec de nombreuses lésions irréversibles

Mieux évaluer, mieux piloter, mieux anticiper !

L’échographie pulmonaire permet de mesurer la taille, le nombre, la profondeur et l’extension des lésions. Elle permet de prévoir les conséquences sur la santé et la productivité des animaux.

Un valorisé individuel et collectif est produit selon le scoring développé par l’université du Wisconsin (score 0 = normal, score 5 = plusieurs lésions durables). Les résultats sont ensuite enregistrés dans le dossier de l’animal.

Notre vétérinaire est l’un des rares à être formé en France !

Les avantages :

  • Technique simple, rapide, peu de manipulation pour un bien être animal amélioré,
  • Economique, moins de 10€ par animal,
  • Diagnostic précis de l’état de l’animal,
  • Prévision fiable de son avenir productif.

Quand recourir à l’échographie pulmonaire ?

  • Idéalement entre 0 et 3 mois, l’examen étant néanmoins réalisable à tout âge,
  • A titre de dépistage et prévention au sevrage ou avant la sortie de la nurserie,
  • En cas de signes cliniques, d’épidémie, ou problème de toux récurrent dans l’élevage.

Les infections pulmonaires sont accentuées par une mauvaise ambiance de la nurserie. Des solutions, comme la ventilation par pression positive permettant d’optimiser le renouvellement de l’air, peuvent vous être proposées. Consultez-nous !

Pour en savoir plus, contactez

Jérôme Delpy

Encadrant technique
Vétérinaire conseil – Référence sanitaire